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Des hommes et des Femmes de la rue, on n'en a pas beaucoup vu, sauf au travers des fenêtres du camion. On séjournait beaucoup en dehors des villes, en pleine nature. Le seuls compagnons que l'on avait étaient notre guide Afrikaaner et nos gérants d'auberges Drifters, aussi principalement Afrikaaner. ce qui ne nous a pas beaucoup donné l'occasion d'avoir des discussions à plusieurs sons de cloches.
Les gens noirs qui nous faisaient des signes de bienvenue sur les routes, on ne les voyait qu'aux cuisines. pas facile d'avoir une discussion avec eux, à part sur la qualité des repas qu'ils nous préparaient.
Mais nous avions l'oeil. de nos fenêtre géantes, on scrutait la route. Et voila ce que l'on a vu : des maisons pour noirs, des maisons pour blancs. Jugez vous-mêmes. La société sud-africaine est loin d'être.