function ejs_nodroit() { alert('Copie interdite © All Rights reserved - La reproduction et exploitation des textes et des images de ce site sont strictement interdites sans accord écrit au préalable'); return(false); }document.oncontextmenu = ejs_nodroit;
Mercredi 10 Janvier 2024
Un lever dans une heure quand même plus correcte, 8 hres et quart.
Je tousse toujours beaucoup, je me réveille très prise. Quand est ce qe cela sera terminé ? J'ai laissé la clim pendant une partie de la nuit car il faisait trop chaud hier soir, je n'arrivais pas à dormir. Mais à température élevée quand même, 26 ou 27°. Je l'ai éteinte dans la nuit, quand je me suis réveillée.
Un bonjour à mon voisin d'en face, déjà installé sur sa terrasse, mangeant je ne sais quoi, mais lui sa nappe sur sa table c'est un carton de pack de bières, je le vois d'ici.
J'installe mon petit déjeuner, et je commence par la mangue que je achetée. Eh bien elle est délicieuse, à point. Aucune comparaison avec la mangue trop verte que j'avais acheté en Thaïlande à Prachuap.
Près de la réception de mon hôtel, ce panneau.. très bonne initiative.
Il fait beau. Je décide d'aller à la plage poursuivre l'opération bronzage,
puisque à cause des méduses je ne vais plus entrer dans l'eau...
Je m'installe à peu près au même endroit. C'est calme. Il n'y a pas grand monde.
J'ai laissé passer un jour sans m'exposer au soleil, ça devrait aller. Je me badigeonne
partout et avec du protection 50, et surtout le ventre qui n'a pas été exposé au soleil, oh la la,
je peux dire 6 ans. Parce que au Cap-Vert je n'ai vraiment pas beaucoup été à la plage.
Le sable est très, très dur. Il y a un tracteur qui est encore en train d'aplanir le sable de long en large.
Et quand je m'étends c'est comme du béton
Ça va, les jetskis ne sont pas opérationnels mais je vois très haut, un... drone.
J'ai dû arriver à la plage vers 11h30. J'ai du repartir vers 12h30, un peu plus.
Je trouve que quand je vais à la plage je vis un peu façon brésilienne.
Je rentre après 13 hres, je déjeune tard, bien, et le soir je grignote.
Il était 13h15 quand je suis rentrée à ma chambre, et le temps de me doucher.... Donc il est tard quand je pars à la recherche d'un restaurant. J'ai décidé d'aller vers la gauche, d'aller au delà du Mall, là où j'étais hier, où j'ai vu des restaurants peut être moins touristiques.
Mais c'est que le midi de nombreux restaurants sont fermés. Il y a bien celui affiché un peu thai, mais les prix sont le double. Et quand je demande "nasi goreng", l'équivalent du fried rice... non, on ne fait pas...
Et les food stalls de la place ne sont pas ouverts. Ils n'ouvrent que pour le soir.
Alors je continue, et il fait un soleil de plomb. Sur ma route il n'y a que les restaurants indiens qui sont ouverts. Je n'ai pas envie de manger indien, une fois je me régale, mais pas tous les jours...
J'arrive au niveau de l'Underwater World. Un espèce d'immenses building est en train d'être construit, très haut, côté mer. C'est une horreur. J'ignore ce que cela sera.
Je m'arrête dans un restau indien parce que je vois un couple manger comme, vous savez, un rôti canai, avec toutes les sauces autour.
Je rentre, je cherche sur la carte du nasi goreng... Une dame m'aide, je lui dis que j'en ai marre de l'ayam.... (le poulet)... Elle me propose un nasi goreng avec un œuf. Le prix est de 10 RM. Oui mais comme j'ai faim je choisis le poulet, je crève de faim, il est tard.
Oui mais on est en Malaisie ! Et le poulet est toujours servi avec son os... Il y a plus ou moins de chaire selon le morceau. Et avec une fourchette et une cuillère, allez décortiquer un os ! J'y mets les mains. Je vois à la table voisine que je ne suis pas la seule.
Le riz par contre est très bon, très bien cuisiné. Il y a une petite soucoupe avec une sauce rouge assez épicée dont je me sers très volontiers.
Je n'avais pas voulu commander à boire pendant que je mangeais, mais là, j'ai soif.
Plus à cause de la chaleur et du soleil tout du long de mon chemin.
Je demande s'ils ont du soda water. Non, ça en Malaisie on ne connaît pas.
Je demande une boisson gazeuse alors. On me propose ça...
c'est dégueulasse mais je bois parce que j'ai trop soif.
Mais ce que je ne vous ai pas raconté, c'est tout ce qui s'est passé entre ces gens et moi.
Le monsieur m'a évidemment demandé d'où je venais... d'abord Allemande, comme toujours... Non, France...
Il me dit qu'il est allé à Paris, avec un groupe d'amis, de Londres à Paris, en bus...
Une sympathie s'installe. Et je me mets à discuter avec eux... Tu habites où dans Paris ? Dans un village ? Dans une ville ? Dans combien de mètres carrés ? En étage ? Il y a combien d'étages dans ton immeuble ?...
Je leur montre des photos de ma rue, de mon immeuble, de la Tour Eiffel. J'ai tout ça dans mon téléphone.
La jeune fille s'intéresse beaucoup. Elle me dit que c'est son oncle et sa tante, et qu'elle travaille avec eux dans le restaurant.
Elle porte un voile, comme la plupart des femmes ici, je lui montre des photos de moi en Iran. "C'est chaud au cou, le voile" je lui dis en anglais, "je l'ai porté pendant presque un mois". Je lui montre plusieurs photos de l'Iran. Elle appelle son oncle... regarde.... oh oh !... "Very beautiful, very beautiful"... Je fais des ravages avec mes photos en femme voilée !
Au moment de partir, la femme me dit "Reviens nous voir samedi. Demain et vendredi on est fermé pour des raisons familiales, mais samedi tu reviens ici, c'est sûr, hein" ?
Je les quitte, le restaurant est en train de fermer. Car les restaurants ferment en après-midi avant de rouvrir le soir. C'est pour ça que quand je pars déjeuner entre 14 et 15 hres, j'ai du mal à en trouver d'ouverts...
Je prends des photos depuis la rue pour me souvenir où cela se trouve, pour avoir un point de repère, car j'ai marché, tellement marché, que je ne sais plus où je suis.
Je dois revenir faire ce long chemin sous un de ces soleils ! C'est une fournaise.
Je prends des photos de l'Underwater World, j'aime beaucoup son architecture.
Je l'ai visité autrefois.
Mais là, l'entrée a beaucoup augmenté.
En face il y a un énorme duty free. Ce bâtiment a une architecture aussi étonnante.
Il faudra que j'y revienne voir. Là je ne peux pas parce que dans ces bâtiments là, il
fait un de ces
froids, avec un air climatisé de malade, et je n'ai rien avec moi pour
me protéger de la climatisation.
Je vois de l'autre côté de la rue, un couple qui me paraît être le couple de Suédois rencontré hier. Je vais les saluer. Ils me disent qu'iuls ont adoré leur au Dhania Motel, pas un bruit, ils ont super bien dormi...
On est devant une petite droguerie. Je rentre, et je me trouve une prise adaptateur, car l'une de mes deux ne fait pas contact, et... un rouleau de Chaterton noir, que je n'arrivais pas à trouver à Bangkok.
Tout ça, ça coûte rien du tout...
Je continue mon chemin, dur dur, le plus vite possible, il fait une de ces chaleurs.
Avant de rentrer je passe au supermarché juste avant mon hôtel, et je m'achète une 2 ème bouteille de Sprite, c'est la seule boisson qui me désaltère. Et je n'en bois jamais en France...
Sur mon chemin cette boutique de fruits que je n'avais pas remarquée dans la grande rue.
Mais je vais à mon épicerie habituelle dans la petite rue.
J'ai pris ces photos de ce légume parce que je ne sais pas ce que c'est et je vais demander à la patronne.
Eh bien, c'est ça le fameux GALANGAL, que j'avais découvert lors de mon voyage
précédent, à Prachuap.
C'était coupé en rondelles et c'était dur, impossible de le manger.
La dame me dit que c'est très utilisé dans la cuisine thaïe. Et on est en Malaisie...
Voilà mes achats. J'en ai pour une vingtaine de ringgits.
Je suis passée à la bakery m'acheter un gâteau pour demain matin.
Mais cet étalage de gâteaux que doivent beaucoup aimer les Malaisiens vaut son pesant d'or.
Ce soir je me régale avec mon avocat, très bon.
Le citron vert l'accommode bien, il manque quand même un soupçon de sel.
Mon dessert... en Malaisie...
33° encore à presque 9 hres du soir !
5 km 41... quand même ! Et il ne compte pas la partie sur la plage de ce matin car j'y vais avec un autre téléphone qui n'a pas l'appli pour comptabiliser mes pas. Ce n'est pas mon record de marche, mais quand même.
Je vous signale que depuis que je suis à Langkawi, je rédige mon blog sur mon mobile avec la connexion data, car ma tablette ne fonctionne qu'en WiFi, et le WiFi dans ma chambre, s'il a bien fonctionné le premier jour, maintenant il y a beaucoup de pertes de connexion, et il me fait trop souvent perdre le travail que je viens de faire parce qu'il n'enregistre pas mes corrections par manque ou lenteur de connexion internet.
Donc je suis bien contente d'avoir pris une carte Sim Malaisienne.