Samedi 24 Août 2002
Réveil très matinal. (Convocation à 7h 30 du matin à l'aéroort Charles de Gaulle 2. On a réservé un taxi la veille jusqu'à la place de l’Étoile où on prend le bus Air France. On arrive très en avance au comptoir de Nouvelles Frontières (chez qui on a caheté notre vol), mais il est déjà ouvert.
Du terminal B il faut aller au terminal D, mais tout cela communique.
Le vol Austrian Airlines est en fait un vol Air France, avec un équipage Air France. Mes repas sea-food ont parfaitement suivi : vive l’Internet, au moins comme cela ça marche.
Décolage à 9h 35, arrivée à Vienne à 11h 40. L’aéroport de Vienne est froid. Beaucoup de couleur jaune.
On a presque 2 heures à y passer, et pas grand-chose à y faire.
Envol à 13h 25 avec un avion Austrian Airlines cette fois, vers Split, où l’on arrive à 16h 55. Il n’y a aucun décalage horaire.
Il fait beau et chaud. Je me suis changée dans l’avion. On passe les formalités de police à toute vitesse, il ne faut même pas remplir de carte de touriste à l’arrivée quand on a sa carte d’identité française et pas son passeport comme c’est mon cas. Il semble que la Croatie veut très vite que l’Union Européenne lui ouvre ses portes.
Dehors, c’est un peu l’inconnu. Des bus attendent les voyageurs qui vont dans des hôtels réservés en package, mais c’est plutôt désert au niveau du transport aéroport-ville.
On a failli déjà se faire avoir par un gars qui proposait de nous emmener en ville dans un minibus pour 10 € alors que le bus d’aéroport est annoncé dans le guide pour 25 Kunas (la monnaie de la Croatie). La confusion entre Kunas et Euros va être un problème auquel nous allons être très attentives, car les gens donnent facilement les prix en euros, et nous on pense que c'est des kunas (c’est-à-dire Francs, car 1 Kn = un peu moins d’1FF). En plus, les billets en Kunas ressemblent énormément aux billets en euros. (Encore un pas pour pouvoir glisser facilement vers l’Europe).
Le bus de l’aéroport arrive, mais il ne part qu’à 16 hres. On attend donc.
Il était écrit dans le guide Lonely Planet (le guide que nous avons et qui sera très efficace), qu’il y avait un bus n°37 qui passait par l’aéroport en venant de Trogir. Ce que nous ne savions pas c’est que ce bus passe sur la route et non devant l’aéroport. Il fallait descendre vers la route à l’arrêt d’autobus, ce que nous ne savions pas.
On a donc attendu que le bus "officiel" de l'aéroport parte, et il s’est rempli aussi de nombreuses personnes qui venaient de terminer leur travail à l’aéroport et rentraient chez eux en ville.