DÉPART DE NOSY BE
Dimanche 4 mai 2003
Ce matin il fait 38° à l’ombre dans le jardin de l’hôtel. Ce n’est pas étonnant que je me retrouve tout le temps en eau.
Je range un peu mes affaires. C’est aujourd’hui que nous quittons Nosy Be et demain nous nous envolerons pour PARIS.
Après le petit-déjeuner, je paie ma facture :
J’avais fait laver mon pantalon de randonnée si sale par l’hôtel pour 5 000 FMG (5 FF) et il est revenu tout propre.
Quand je pense qu’ils font la lessive au battoir, comme au lavoir...
Chaque petit déjeuner a coûté 18 000 FMG (18 F... cher !) + une caipirinha : 9 000 FMG (9 FF, pas chère !).
Je descends vers la rue principale, pour y chercher quelques souvenirs, peut être, à acheter. Les boutiques sont fermées, évidemment c’est dimanche. Mais elles ouvrent quand même, seulement un peu plus tard vers 10 hres.
Mais qu’est ce que j’ai à me lever si tôt !
Je m’achète un bracelet en corne de buffle. Le reste ne m’attire pas, et c’est très cher, surtout les t-shirts imprimés au logo de Madagascar, le type de t-shirts que je ne porte jamais.
Un coup d'oeil aux autres hôtels
Ensuite, pour occuper le temps, car je n’ai pas envie d’aller sur la plage, ou me baigner, car il faudrait que je repasse par la salle de bain avant de partir, je vais jeter un coup d'oeil aux autres hôtels qui sont proposés.
Le mieux c’est l’Ylang-Ylang, celui des garçons. Il me plait beaucoup et n’est pas trop cher, avec tout le confort, des chambres en rez-de-jardin et donnant sur la plage. Elles coûtent quelque 300 FF la double, c’est jouable.
| Hôtel Ylang-Ylang |
Tarifs jusqu’au 31/12/2003 |
J’ai visité la Résidence d’Ambatoloaka, où il y avait là aussi... des douches à l’africaine pour 180 000 FMG la double (180 FF, 27 €) et 120 000 la single. La Saladerie est le moins cher mais un peu moche.
Je distribue
Puis je remonte, je donne quelques stylos au passage aux enfants des quelques maisons devant lesquelles nous passons chaque jour pour remonter à l’hôtel. L’accueil est super.
Je remonte à ma chambre et décide de réunir toutes les choses dont je peux me séparer, c’est la fin du séjour, donc : bombe anti moustique (très bien accueillie : "on a beaucoup de moustiques ici" me dit-on), mon paréo bleu qui commence à se déchirer, mon t-shirts blanc, emporté plus ou moins dans ce but de le donner, et mon bâton de rouge à lèvres, aussi très bien accueilli.
Des allumettes, des kleenex, des petits savons, le reste du savon de Marseille pour la lessive, de l’hydrochlonazone, dont j’ai un peu de mal à leur expliquer à quoi ça sert, mon paquet de galettes bretonnes, qui était mon encas, au cas où je serais malade, et, je n’ai pas été malade.
Attente
Je remonte à vide. À 11h 30 j'ai apporté mes bagages dans la chambre n°5 qu’on nous a laissée à cet effet.
Nous attendons le départ. Encore quelques photos du jardin, une grosse tortue, de terre cette fois-ci, quelques photos de nous.
À midi on descend déjeuner chez Antoine. Je mange des brochettes de crevettes avec des pommes de terre sautées. Odile et ses copains y étaient aussi, mais avaient presque fini. Ils prennent le même vol que nous tout à l’heure pour Antananarivo.
Je prends quelques photos d’Antoine et de son restaurant, de la rue, d’Océane Aventures...
On retourne à l’hôtel.
Puis on descend les bagages, la voiture qui nous emmène à l'aéroport nous attend devant Océane Aventures.
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Et ce sont les adieux. Akram nous accompagne jusqu’à l’aéroport de Nosy-Be et se charge des formalités d’embarquement.
L’aéroport n’est pas si loin. Il y a beaucoup d’attente. On a enregistré dans les premiers.
ANTANANARIVO - PARIS
