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Jeudi 12 Mai 2016
Jalil arrive et nous emmène en voiture jusqu'à chez lui. C'est une maison.
Il nous présente sa maman, qui dit-il, était très impatiente de nous rencontrer.
Sa mère, mais aussi sa tante (la soeur de sa mère)... toutes deux, nous précise-t-il, ont fait le pèlerinage de La Mecque.
La maman nous dit tout de suite que nous devons garder nos foulards, car... "there are men"...
Arrivent la soeur et le jeune frère de Jalil.
On nous offre à boire, du jus de cerises ou de fraises, on ouvre le paquet de gâteaux qu'on a offert, et on discute.
Jalil parle de son métier dont il est passionné. Non seulement il est professeur d'anglais mais il est un éminent professeur en géographie, et chercheur en géopolitique. Il a publié plusieurs recherches sur le sujet qui le passionne : "Explaining of the Role of Geographical Explorations in Changing of the international Boundaries and the Political Map of the World".
Le but de ses recherches est d'essayer de comprendre l'impact qu'ont eu les explorations géographiques sur les frontières internationales et la carte politique du monde. ("have geographical explorations had a huge impact in international boundaries and political map of the world ?").
Il fait très chaud. Jalil nous a parlé de nous emmener voir la mer, oui, on aimerait bien. Le jour décline. Jalil appelle un de ses amis (un autre). Il s'appelle Mobil. On attend encore. Jalil téléphone.
Arrive Saied Mohammad. Cette fois-ci on est au complet.
Et c'est ainsi que j'ai connu Jalil et ses deux plus proches amis, Saied Mohammad et Mobil.
Vamos a la playa... voir la page suivante, "vamos à Anzali".
Il est minuit quand on est revenu d'Anzali. On se dit que c'est une heure correcte pour dormir.
Mais notre hôte nous fait re-passer au salon... On nous offre des gâteaux et des fruits... et on papote à nouveau...
Il est 1 hre 15... C'est l'heure d'aller dormir. On est bien fatigué ! Il ne faut pas oublier qu'en plus, Ouardia, elle, s'est payé une belle grimpette au Qaleh'eh Rudkhan cet après midi...
Ils poussent les meubles dans le salon, et on nous installe deux matelas par terre, et on nous donne des draps et des oreillers. On est coincé sous la table de l'ordinateur, mais ça va. Dormir par terre sur un matelas iranien a toujours été confortable.
On passe au lavabo se laver les dents (le voile sur la tête). Ouardia en a profité pour prendre une douche. Moi je n'ai pas pris de douche, trouvant ça trop compliqué d'y aller toute habillée et d'en ressortir toute habillée (avec le foulard aussi).
Le portes du salon sont fermées. Ouf, on peut... retirer nos foulards. Bon, on ne sort pas grand chose des sacs.