PETRA
2 ème jour à Petra
Dimanche 29 Août 2004
Réveillée à 1 hre du matin, puis à nouveau à 4 hres, par le Muezzin cette fois, et fort ! Le soir, c'est à 19h15 qu'il chante. Petit déjeuner prévu à 7h30. Gâteaux et café. on part à 8h 15.
Ce matin, certains du groupe étaient partis beaucoup plus tôt pour y voir le lever du soleil. Moi pas. Notre accompagnateur leur avait expliqué que c'était inutile, car vu la profondeur de la gorge, le soleil ne pénétrait pas. À 9 hres, heure à laquelle nous découvrons le Khazneh à moitié dans l'ombre. Mi soleil, mi ombre, c'est nul pour les photos. D'autant plus qu'il faut un recul pour le saisir en entier que l'on n'a pas sur cette place.
Le chemin, je vais finir par le connaître par coeur jusqu'au Khazneh.
La roche qui nous entoure a encore des teintes différentes de la veille.

La religion à Petra
Les Nabatéens pratiquent un mélange syncrétique où interviennent diverses divinités. Les Nabatéens ont adopté les dieux d’Edom, d’Arabie et de Syrie ainsi que les dieux de la mythologie grecque et romaine.
On retrouve ainsi à Petra : Qos, dieu Edomite de l’orage et de la pluie, Dushara, un dieu qui peut s’identifier à Zeus, Uzza, une déesse assimilée à Aphrodite. Mais des divinités gréco-romaines sont aussi vénérées par les Nabatéens, comme Victoire, Tyché, Fortune, Zodiaque, Saturne ou Mercure, et en plus de la protection de déesses syriennes, celle des dieux arabes (comme Al-Kutba, dieu de l’écriture et du commerce) n’était pas négligée non plus.
Les tombes
L’architecture funéraire de Pétra est une alliance des influences assyriennes, perses, grecques et romaines mais surtout égyptiennes, comme le montre les tombeaux où les architectes se sont inspirés de l’école d’Alexandrie.
Les tombes sont l'image de la volonté de ces grandes familles de marquer leur présence par la construction de tombeaux.
Les façades montrent des traces d'enduis. Donc, probablement elles devaient avoir été enduites et peintes, de couleurs vives, avec beaucoup de contrastes. Ces décoration avaient comme but l'austentation, montrer la richesse et la puissance de la famille du mort. À l'intérieur des tombes, des niches dans les murs. On y plaçait les corps des défunts, et les petites niches étaient destinées aux enfants.
On a trouvé des trous de sépultures dans la terre, ce devait être les sépultures des gens les plus pauvres.
Les tombes ont été pillées. Mais on y trouve encore des inscriptions, notamment des inscriptions de femmes, indiquant "qui" peut et "qui" ne peut pas être enterré dans le tombeau. On a pu en déduire que le rôle des femmes devait être important dans la société nabatéenne.
On distingue 4 types de tombes :
✧ Les tombeaux-tours
C'est le type le plus fréquent à Petra. Très répandus autour du Théâtre.
Ce sont les plus simples, sous forme de blocs creusés dans la roche. Ils rappellent l'architecture du Yemen.
L’ouverture est moins travaillée et leur façade est ornée de frises aux motifs géométriques.
✧ Les tombeaux à puits
Ce sont les plus anciens et aussi les plus simples.
Les tombes, souterraines, sont donc sans façade monumentale.
✧ Les tombeaux de type "Hegra"
Ils tirent leur nom de la cité d'Hegra, l'autre site nabatéen d’Arabie Saoudite, une petite réplique de Pétra à 700 km au sud. Les tombeaux Hégra sont richement décorés. Ils sont en forme de tour et possèdent une salle funéraire.
La façade mêle des éléments égyptiens et orientaux, ornée de pilastres et d'une porte monumentale de style classique. L'association de merlons et de la gorge égyptienne remonte à l'époque perse.
Les chapiteaux terminés par des sortes de cornes sont en revanche typiquement nabatéens.
Le meilleur exemple de ce style à Petra est le tombeau d'Aneishu, situé sur la droite juste avant le théâtre quand on vient de l'entrée.
✧ Les tombeaux-temples
Ce sont les plus nombreux, et les plus spectaculaires. Ils sont inspiration Gréco romaine, et aux décorations très riches. Les plus célèbres sont le Khazneh (le Trésor, le joyau) mais le plus monumental est le Deir (le Monastère).
C'est sur la la falaise de la Khubta que l'on en trouve la plus grande concentration (tombeau à l'Urne, tombeau de Sextius Florentinus ...).
Leur architecture a été qualifiée de baroque car elle est avant tout décorative.
Les urnes surmontant les tholos sont des symboles funéraires.

© quilaztli.over-blog.com

1 - Entrée |
10 - Tombeau Corinthien |
19 - Qasr Al-Bint |
28 - Haut lieu du sacrifice |
La rue des façades
Une fois franchi le Khazneh, le défilé s’élargit progressivement et les tombeaux deviennent plus nombreux. On l'appelle la rue des façades. C'est une quarantaine de tombes ayant servi d’habitations, avec des façades sur 4 niveaux, taillées à flanc de colline.

La rue des façades mène au théâtre. Nous n'allons pas jusqu'au théâtre mais nous prenons, tout de suite sur la gauche, la montée, un gigantesque escalier, qui doit mener vers le lieu du Sacrifice ou "Zibb Attuf" (aujourdhui "El Madhabah").
EN HAUT
El Madhabah ou Le Haut-Lieu du sacrifice
Commun aux religions sémitiques, le haut lieu est un lieu de culte en plein air où l'on procédait à des sacrifice.
Petra en compte plusieurs.

Je grimpe les 650 marches qui mènent à El Madhbah. Très dur. Je pars devant car sachant bien que je finirai derrière.
Je rencontre un anglaise venue à Amman pour travailler dans une école et qui est venue découvrir Petra. Son amie est partie par l'escalier de pierre, et elle, fatiguée, attend là. Aussi un japonais, tout seul, une grosse, mais grosse caméra à l'épaule, nous suivra sur notre chemin.
J'arrive au bout des 650 marches, essoufflée. Le groupe m'a distancé par devant.

Il y a sur une plate-forme, installé là tout un commerce. Un café, des boutiques..
On m'explique que pour voir le "haut-lieu", c'est bien tout à côté, mais il me faut escalader un énorme rocher (un "mamelon rocheux" c'est exactement ça...) assez lisse. J'essaye deux fois, mais la peur m'a prise et j'ai abandonné.
Le sommet qui se trouve à 1035 m au-dessus du niveau de la mer, est accessible après un parcours long et difficile, par des sentiers de montagne et des escaliers assez raides.
Sur le plateau se dressent deux obélisques sculptés dans la roche et pourraient avoir été consacrés aux deux principales divinités Dushara et Al-Uzza.
Le haut-lieu se compose d’une vaste cour rectangulaire en piscine avec une plate-forme en son centre et à l’ouest un grand autel rectangulaire surélevé. A gauche de cet autel se trouve une deuxième plate-forme, circulaire et creusée d’un bassin rond équipé d’un drain pour recueillir le sang de la victime.
Il parait que le lieu du sacrifice était au dessus du rocher. Eh bien, je n'ai pas vu. J'ai attendu que les autres redescendent du haut-lieu, au café, à discuter avec un jeune guide, qui m'a expliqué que l'on descend en général de là par un chemin différent, qui conduit vers le Wadi Farasa, où se trouve la tombe du soldat romain.
Le Monument au Lion
On emprunte un sentier, et Il faut ensuite emprunter des escaliers très raides. On passe devant un énorme lion de pierre, sculpté dans la montagne. Il a un corps de 4,50 m de long. L'eau qui s'écoulait par un canal s'écoulait par la gueule du lion.


Vue vers le bas

Puis nous prenons des marches qui redescendent. Nous nous trouvons dans un creux.

Les fantastiques couleurs de Petra
Les roches de grés ont été façonnées par le vent et le sable, donnent cette extraordinaire palette de couleurs du jaune au violet passant par les oranges, roses, rouges, jaunes, verts et bleus.
Ces fantastiques couleurs sont dues aux oxydes métalliques contenus dans les grés. Oxydes de fer pour les rouges (comme dans le désert du Wadi Rum), oxydes de cuivre pour les verts et bleus, oxydes de zinc pour les blancs et sulfures pour les jaunes.


Des roches déchiquetées par le vent

Le Triclinium du jardin
Nous décidons de nous arrêter pour pique-niquer, devant l'une de ces tombes.
Lieu idéal puisque c'est un Triclinium.

Un Triclinium est une salle de banquets cultuels qui avaient lieu en l'honneur des défunts du tombeau voisin.
Triclinium signifie "salle avec trois banquette". On dirait aujourd'hui un "diwan". Les gens se réunissaient pour honorer un Dieu, un défunt. Il y avait des musiciens, les gens étaient couchés sur des banquettes et ils mangeaient.
À Petra, on a décompté 120 salles de banquets, et les convives ont laissé leurs signatures sur les parois.
À Hegra on n'a trouvé qu'une seule salle de banquet, mais une très grande.
On est dans la gorge du Wadi el Farasah.


Le Tombeau du Soldat Romain
La façade est ornée de de hauts reliefs taillés au fond de trois niches.
Dans la niche du milieu est représenté un soldat en cotte de cuir avec des franges, portant un manteau agrafé retenu par le bras gauche. Étant donnée l'époque probable de l'éxécution de ce tombeau (1ère moitié du 1er siècle après J.C.), il semblerait qu'il ne peut pas s'agir d'un soldat romain mais d'un militaire nabatéen.

Jadis reliée au Triclinium situé à l'opposé par une cour à colonnade, le style de l'architecture et les armures romaines représentées sur les statues suggèrent que la tombe fut peut-être sculptée après l'annexion romaine en l'an 106 après J.C.
On rencontre une équipe d'archéologues français : c'est une association qui fouille les tombes.
Tout en haut il ne reste que le Deir (le Monastère) que je ne visiterai jamais, et pour cause)...
EL-DEIR "le Monastère"
On atteint le Deir après un parcours à pied relativement pénible. un escalier de 800 marches taillées dans le roc. ce temple de 45 m sur 50 m, ou tombeau, était manifestement un lieu de pèlerinage important. Les fidèles et les prêtres empruntaient une allée pour finalement se rassembler devant le monument.
Sa taille colossale laisse présumer qu’il occupait une place prépondérante dans la vie religieuse des Nabatéens. Sa façade a été profondément sculptée dans la falaise pour laisser place sur le devant à une grande cour.
Le style de l’édifice ressemble beaucoup à celui du Khazneh mais en plus sobre, ce qui accentue ses proportions et son aspect massif. Il daterait du milieu du Ier s. de notre ère.
A partir du 4 ème siècle, cet édifice fut utilisé en tant que monastère durant l''ère chrétienne byzantine, et des croix furent peintes sur les murs à l'arrière du monument.
LA DESCENTE
Ensuite, on descend.


Un 2 ème Triclinium
On visite un 2 ème Triclinium. L'intérieur une grande salle taillée dans une roche moirée de rouges de toutes teintes.
Contrairement à ce que l'on pourrait croire, les Nabatéens n'étaient pas sensibles aux effets de la roche diaprée de couleurs multiples, car malgré la beauté de la roche, iIs couvraient les salles de stucs peints.

La descente
Au loin, des falaises, de couleur gris-noir. On passe devant d'innombrables tombeaux à façade sculptée.

À l'intérieur de l'un d'eux, des trous creusés dans le sol, montrent l'emplacement vide de certaines tombes.

Puis on emprunte un sentier... à plat.


On arrive sur le haut d'un col d'où l'on découvre alors la ville basse. On est au dessus du Qasr El Bint.

LA VILLE BASSE
La ville basse c'était le coeur de la Cité, le centre de la vie publique : théâtre, nymphée, thermes, marché et sanctuaires y prenaient place le long de la voie principale.
Qasr Al Bint ou le temple de Dushara
"Qasr Al Bint" signifie "Le château de la jeune fille". C'était en réalité un temple, qui fut consacré au milieu du 1er siècle avant J.C. à Dushara, le dieu principal des Nabatéens, la principale divinité masculine du panthéon nabatéen. Sa partenaire était la déesse de la fertilité Atagartis, souveraine des eaux et des sources

Les Dieux Nabatéens
Le principal dieu des Nabatéens était Dushârâ. C’est le protecteur de la dynastie royale. Il était assimilé à Zeus sous le nom de Dusarès, à Dionysos ou à Sérapis. Son culte était célébré à Pétra dans le temple de Qasr el-Bint.
Sa partenaire féminine est Al-Uzza-Atargatis, déesse de la fertilité, de la végétation et des eaux, assimilée à Isis (représentée sur le Khazneh) et à Aphrodite chez les Grecs.
Les Nabatéens adoraient d'autres dieux, mais de moins en moins, et Dushara est devenu le dieu suprême.
Les bétyles sont des représentations de la divinité. Elles sont le plus souvent placées dans une niche. Mais ce n'est seulement qu'une pierre, pas de visage, des blocs de pierre. Dans le Nord-Ouest de l'Arabie, ce n'est qu'un bloc.
Ne pas représenter le visage n'était pas un tabou,, mais on avait une réticence à représenter un visage.
C'est devenu une loi dans l'Islam, comme dans le Judaïsme.
Le temple de Dushara est presque carré (28 m de côté sur 23 m de haut). C'est le "mieux préservé"" de la ville basse.
D'aspect gréco-romain, il a pourtant un plan typiquement oriental. C'est une grande structure autonome, construite en blocs massifs de grès jaune. Il a résisté au tremblement de terre qui, au 4 ème siècle, a détruit Petra grâce à un système anti-sismmique, des poutres de génevillier. Il a été largement restauré.




On est, là, au bout de la ville basse.
Le musée
J'en profite pour monter l'escalier, encore un, au dessus du temple, qui conduit au Musée, installé sur un tombeau en hauteur. Il n'y a pas grand chose : deux trois têtes, dont la tête d'un dieu barbu censé représenter Dushara-Diynysos, des petits objets, des fragments de céramique rouge, quelques monnaies et des bijoux.
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C'est le début de l'après-midi. Il fait très chaud. Certains d'entre nous se sont arrêtés au café qui jouxte le Temple de El Bint, en dessous de l'escalier du musée. Les propositions de dromadaires ne manquent pas (dans cette partie seuls les dromadaires circulent). Mais jamais plus depuis longtemps, j'ai déjà fait l'expérience du dromadaire !

L'ancienne ville romaine
Je marche vers la direction de l'entrée des visiteurs qui me semble bien loin, à l'opposé. Sur le chemin, je traverse la ville romaine, ou ce qu'il en reste, car c'est très détruit. Le cardo principal, avec à sa droite le temple Sud, les Thermes, mais la décrépitude de ce qu'il en reste ne me poussera pas à m'enfoncer vers ce côté là. Il faut beaucoup d'imagination pour se représenter la ville à l'époque de sa splendeur romaine.
La rue à colonnade était le centre de la vie quotidienne de la ville de Petra.
Autrefois un lieu de commerce animé d'échoppes et de logements.

Je continue mon chemin et m'arrête sur un banc pour me reposer. Oui, sur un banc, d'ailleurs il y a là un vendeur de bouteilles d'eau minérales, à un prix faramineux : 1/4 d'eau au même prix que la bouteille d'1 litre 1/2, c'est à dire 500 Dinars.
Je discute un peu, pour laisser passer la grosse chaleur, avant d'entreprendre la montée vers la cathédrale byzantine, qui est juste derrière, en hauteur.
L'église byzantine
Sur une crête du jebel Qabr Jumay'an, une église (actuellement protégée par un auvent) a été découverte en 1990 : elle pourrait faire partie d'un ensemble plus important. Elle conserve sur ses bas-côtés des pavements de mosaîque qui constituent l'un de ses attraits principaux.
Il y a un chemin qui grimpe par derrière le banc où j'étais assise.
Arrivée près de l'église, la vue plongeante sur la ville basse est magnifique, on voit très bien le tracés du cardo maximus du temple de Dushara à un bout jusqu'à l'extrémité à gauche où se trouve ensuite le Khazneh que l'on n'aperçoit pas.

On a une vue superbe sur la falaise de la Khubta avec tous ses tombeaux en façade.

Arrivée là, je cherche l'entrée de l'église, car il n'y a qu'un toit de toile blanche (que l'on aperçoit de très loin).
Les mosaïques sont en effet très intéressantes.
Une équipe est en pleine restauration. On m'explique qu'ici, les mosaïques n'étaient pas dans un état aussi dégradé que les mosaïques de l'église des apôtres de Madaba où, là, il fallut tout re-dessiner et reconstituer. Ici, on ne fait que recoller les petits carrés qui ont été décollés.
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Je re-descends. Direction le théâtre romain que j'ai laissé de côté dans mes visites.
Je m'arrête chez un vendeur de souvenirs pour boire un coca cola, et je cherche le théâtre.
Bêtement, je passe devant sans le voir, alors je reviens sur mes pas.
Le théâtre
Erigé en l’an 25 de notre ère par les Nabatéens, et agrandi par les Romains après 106, il pouvait contenir 8.000 personnes sur 40 rangées de gradins en demi-cercle.
Contrairement à la tradition, celui ci n’est pas construit à partir de blocs de pierre, mais creusé dans la roche par les nabatéens (et non les romains).
Peut-être aménagé au temps du roi Arétas (8ème siècle avant JC - 40 après JC) puis restauré par Malichos II (40-70) le théâtre fut fortement abîmé par le tremblement de terre de 363 après JC, et abandonné au 8 ème siècle sous les Omeyyades.

Bof ! Un théâtre romain de plus.
Le soleil a bien baissé. Je me dirige vers le Khazneh et le Siq. Le chemin m'est devenu familier.
Le Siq avec le soleil qui se couche c'est magnifique.
Il n'y a pas beaucoup de monde, beaucoup de familles jordaniennes ou arabes.
De retour à l'hôtel
Je suis de retour à l'hôtel à 17h30.
Je demande à la réception s''ils peuvent me préparer une soupe avec du riz blanc. Avec beaucoup de mal, on me dit que oui. Mais le soir quand je descends pour dîner, voilà que le patron me dit qu'il n'est pas au courant et qu'il n'y a rien à l'hôtel pour préparer à manger (même du riz, je lui lance !).
Ça a été toute une discussion épuisante, mais au bout du compte je suis arrivée à obtenir à manger. Je vais ensuite un peu sur la terrasse de l'hôtel ensuite (enfin la terrasse sur la rue en rez-de-chaussée).
Je discute avec un type qui est guide, Lui, il m'explique qu'il y a une façon plus facile de grimper jusqu'au Deir : il faut aller jusqu'à Little Petra, et de là descendre les marches au lieu de les monter (850 marches !). |
Sufiat M.Amarat |
Comme il y a brieffing du groupe ensuite, je soulève la discussion à propos de cette information, et Marc de me répondre......
"Mais ce n'est pas prévu comme cela !". (Ah ça je m'en souviendrai : pour un voyage non organisé qui est censé pouvoir évoluer en cours de route, bravo pour l'écoute !)
Les autres ont décidé de dîner en ville. Moi je reste discuter sur la terrasse, et puis je vais me coucher.
DIAPORAMA
Deuxième jour à Petra
