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Samedi 31 mars 2007
Notre grande journée dans le Karoo, perdus au milieu de nulle part, c'est à dire au milieu de la propriété de Drifters.
Ce n'est pas la "Valley of the Desolation", celle dont on parle et qui est fameuse dans les guides, mais c'est tout comme.
Ce matin nous quittons le camp et nous partons à la découverte de la nature environnante.
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On a vu l'un des plus beaux lieux de cette propriété,
un canyon errodé par les pluies (pas aussi grand que le Blyde bien sûr) mais très beau.
Des zèbres de montagne. A la différence des zèbres communément rencontrés dans les parcs d'Afrique, ceux-là ont des bandes qui s'arrêtent sur le ventre et pas tout autour de leur corps. Ils étaient loin je n'ai pu les photographier.
Et puis deux tortues de terre que nous avons approchées de très près.
Je trouve que les tortues ont quelque chose de très expressif.
Et un dassie. Ah oui, le fameux "dassie" in English, dont je ne connaissais pas le nom, se nomme en français un "daman des rochers" ou "daman du Cap" (Procavia capensis). C'est un petit mammifère qui ressemble à une marmotte ou un gros cochon d'Inde avec des oreilles et une queue courte. Il est appelé dassie en Afrique du Sud et pimbi en swahili... Fallait le savoir !
Mais en fait je ne l'ai pas vu, il s'est caché trop vite sous les rochers.
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Puis des autruches.
Elles s'approchent jusque tout près de notre camp.
Il parait qu'elles sont très agressives, et qu'on ne doit pas s'en approcher.
L'après-midi était libre. Rien à faire.
Comme il semblait faire chaud, je me suis installée pour une bronzette sur la terrasse de mon bungalow, appareil photo et jumelles au pied de ma chaise, à attendre les animaux qui passeraient par là.
C'était d'un calme époustouflant. Et d'un vent obsédant. Mais c'est le chaud-froid sans cesse, comme un mois de mai en Angleterre.
On n'entendait pratiquement aucun son, presque une absence de tout son. Ça c'est très impressionnant.
Comme animaux je n'ai vu que des troupeaux de springboks qui mangeaient de l'herbe sur la colline, mais je me suis délectée à les observer à la jumelle, comme si j'avais l'impression qu'ils voyaient que je les regardais, malgré la distance.
C'est dans cette grande maison que se trouve la salle à manger.
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