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La ville est divisée en deux parties : le nord et le sud. Les quartiers du nord de Téhéran sont plus riches, modernes, cosmopolites alors que les régions sud sont moins attrayantes, mais moins chères.
Nous sommes... au sud.
L'hôtel Khayyam porte le nom d'un célèbre mathématicien, astronome, philosophe et poète persan, Omar Khayyam, né à Nishapur dans le nord-est de l'Iran en 1048, mort en 1131) plus connu aujourd'hui pour sa poésie. Il est considéré comme l'un des scientifiques les plus influents du moyen âge. Il a écrit de nombreux traités sur la mécanique, de la géographie, de la minéralogie et de l'astronomie. On en apprend des choses ! |
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La chambre est petite, le sol recouvert d'une moquette défraichie, et la salle de bain (avec WC à la turque) sent le moisi.
C'est la pire chambre qu'on aura eue de tout le voyage et au tarif le plus cher.
On est au lit à 2 h 45.
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Par contre la vue par la fenêtre est belle.
Vue sur les montagnes qui se trouvent au nord de Téhéran, très proches de la ville.
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Un buffet copieux. Du jus de fruit (pas du naturel), du fromage, de la confiture, du pain (le à trous qui est celui que j'aimerai le moins, du caoutchouc). Mais mauvaise surprise : s'il y a bien du café en plus du thé (que je ne bois pas) c'est du 3 + 1. Comme j'en avais découvert en Thaïlande. un mélange café en poudre + lait + sucre. impossible pour moi.
Je remonte à la chambre, et heureusement que j'ai apporté quelques sachets de Nescafé noir.
Je ne savais pas ce premier matin qu'on pouvait avoir des oeufs, même des oeufs frits. Mais il faut les demander...
Je le saurai pour demain.
Après avoir fait toutes nos visites de la journée, on rentre à pied à notre hôtel. Sur le chemin, on se trouve justement face à l'hôtel Asia dont nous ont parlé le jeune couple rencontré devant le Golestan Palace, et on en profite pour visiter une chambre.
33 dollars... On décide de booker là pour notre retour à Téhéran fin mai, car nous n'aimons pas beaucoup la chambre du Khayyam Hotel. En plus l'Asia Hotel, il est moins cher, et mieux.
Retour à notre hôtel Khayyam. On discute avec deux couples de Français qui s'en vont prendre leur vol à 3 hres du mat.
On cherche à dîner. Mais c'est difficile, il n'y a pas de restaurants dans le coin. On marche jusqu'à la Place Khomeini.
On ne trouve à manger qu'un sandwich, pain/ratatouille pour 60 000 rials (en tomans 6000...)
Oui ils parlent tous en romans en Iran !.
Retour à l'hôtel.
Discussions avec les couples de Français. Ils me laissent leur carte Sim iranienne, et on leur change les rials qui leur restent.
Il est très bien au niveau du service. C'est à dire, en bas, à la réception, un grand salon avec des prises usb (parce que le wifi dans la chambre, il ne faut pas y compter), un ascenseur, et un service efficace. Nous l'avions choisi parce qu'ils nous ont envoyé le mail de confirmation de la réservation par retour de mail, et que le tarif était encore l'un des meilleurs de Téhéran au niveau d'un confort moyen et correct.
Seulement les chambres sont petites, la salle de bain est très petite et sent le moisi et ça..., et les WC (à la "turque" sont basiques. Le prix est cher pour ce que c'est.
L'hôtel collabore avec une agence de voyage (qui nous a aidées à trouver un hotel à Kashan la veille pour le lendemain alors que tout était plein) et une compagnie de taxis (comme tous les hôtels).